Debout au milieu d’un champ de maïs fraîchement ensemencé, Bright Osei Kwaku se rappelle que l’année dernière il a plus que doublé sa production grâce à l’utilisation de semences améliorées et d’engrais, et à des conseils techniques sur les méthodes de culture. En totalité, son champ d’à peu près un hectare a donné environ 15 sacs de 100 kilogrammes, par comparaison avec seulement six sacs l’année précédente où il n’avait pas bénéficié d’un tel soutien.Beaucoup de jeunes Ghanéens comme lui ont abandonné l’agriculture ou rêvent de le faire. Mais M. Kwaku, qui a aujourd’hui 25 ans, pense qu’il lui est possible de rester sur sa terre. “Je vais continuer à cultiver la terre, déclare-t-il à Afrique Renouveau. J’ai un revenu et de la nourriture. La ferme me donne assez pour vivre.”....
Par Jean Marc SOBOTH (Correspondance particulière) Le 29-05-2008
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dilluns, 2 de juny del 2008
Combattre contre la pauvreté, village par village
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